EDENE se plonge dans le passé : Un shooting photo inspiré des années 1940 pour « CASTELLANO »
EDENE, l’artiste au cœur de la scène électronique contemporaine, surprend encore une fois ses fans avec un choix audacieux. Pour promouvoir son nouvel album « CASTELLANO », elle a opté pour un shooting photo résolument vintage, s’inspirant directement du style des années 1940.
Un voyage dans le temps : le choix du style années 1940
Même si « CASTELLANO » évoque le rythme et les sonorités modernes, EDENE a souhaité pour sa promotion une esthétique rétro. Les années 1940, décennie marquée par la guerre mais aussi par une forte identité visuelle, semblent se prêter parfaitement à l’atmosphère que souhaite dégager l’artiste. Entre élégance, glamour et une pointe de nostalgie, les photos capturées sont d’une beauté intemporelle.
L’influence des Années folles
Si le shooting s’inspire des années 1940, l’âme de « CASTELLANO » puise directement dans les Années folles. Cette période, s’étalant de 1920 à 1929, est connue pour son intense activité sociale, culturelle et artistique. C’est d’ailleurs cette énergie et cette effervescence que l’on retrouve dans l’album d’EDENE. Ainsi, bien que le style visuel du shooting évoque les années 1940, c’est toute l’aura des Années folles et des Roaring Twenties qui imprègne la musique.
La vision d’EDENE : créer une atmosphère complète
Pour EDENE, il ne s’agit pas seulement de produire un album. Elle souhaite offrir une expérience à part entière. De la pochette de l’album aux clips vidéos, en passant par le shooting photo, tout est pensé pour immerger l’auditeur dans un univers précis. Et pour « CASTELLANO », ce monde est celui des années d’après-guerre, où l’espoir renaissait doucement des cendres du passé.
Avec cette démarche artistique, EDENE prouve une fois de plus qu’elle n’est pas qu’une musicienne, mais une véritable artiste visuelle, soucieuse de chaque détail et désireuse de transporter son public dans un univers bien défini. L’album « CASTELLANO » et son atmosphère unique ne manqueront pas de marquer les esprits.














